Miskhor
Miskhor - le bourg minuscule, la station thermale – un des coins les plus attrayants de la côte Sud de la Crimée. En langue des tatars de Crimée « Miskhor » signifie «l'établissement médian» et cela est conditionné par une disposition intéressante de Miskhor: il semble d’être serré entre deux autres perles de Crimée – Haspra et Koreïz. Le combinaison salubre de l'air maritime et de montagnes, la mer chaude, les plages solaires, de nombreux sanatoriums, qui comme les perles blanches rayonnent au fond de la verdure savoureuse des parcs, – tout cela attirent chaque année mille touristes à Miskhor.
Miskhor est dignement considéré comme une des stations balnéaires les plus prestigieuses de Crimée, en plusieurs cas parce que grâce à la disposition unique il est le plus chaud de la côte Sud: contre les vents froids il est bien protégé par la chaîne de montagnes. Mais malgré le fait que la plupart des hôtes vient à Miskhor pour se dorloter sur ses plages et se plonger dans l'azur de la mer Noire, il y a aussi les choses à admirer aux amateurs de l'architecture et aux juges des miracles naturels.
Avant tout, il faut voir le symbole principal de la station balnéaire – la sculpture de bronze de l'Ondine avec l'enfant dans ses bras, établi sur un petit rocher à la mer. En face d'elle, près de la fontaine sur le quai il y a encore une sculpture – la Jeune fille Arzy et le brigand Ali-baba, avec laquelle ils font une composition commune. Dans cette sculpture son auteur – l'architecte célèbre qui a créé le monument aux navires inondés à Sébastopol – a réalisé la légende connue de Crimée sur une belle jeune fille Arzy qui vivait autrefois à Miskhor. Selon la légende, au jour du mariage elle était volée par le brigand Ali-baba et vendue au harem du sultan turc. Mais n'ayant pas souhaité rester à Istanbul dans l'esclavage, Arzy s'est jetée à l'eau du détroit de Bosphore et par l'ondine avec l'enfant dans ses bras est apparue aux bords natals de Crimée. Malheureusement la sculpture originale de l'Ondine ne s'est pas gardée (la tempête l’a emportée à la mer), elle était remplacée par la copie fidèle.
Mais la curiosité principale de la station balnéaire c’est le parc Miskhorsky, qui comme la couverture verte immense cache la côte maritime. Mis à la fin du XVIII siècle, il est justement reconnu pour le chef-d'oeuvre de la culture de parc et de jardin. Plus de cent aspects des arbres exotiques et les buissons sont accumulés ici : le séquoia, le magnolia, le cèdre, l'if et plusieurs autres. Au centre du parc la fontaine de son et lumière est établie.
Au fond des paysages féeriques des montagnes de Crimée se détache la curiosité brillante architecturale de Miskhor – le palais "Dioulber", qui est aujourd'hui un des batîments du sanatorium homonyme. Beau (notamment ainsi le mot tatar « Dioulber » se traduit ) le palais dans le style mauresque, décoré par la mosaïque colorée, était construit à la fin du XIX siècle pour le prince russe Pierre Nikolaévitch, l'oncle de l'empereur Nikolas II. Après la révolution de 1917 le palais s'est transformé en vraie forteresse, qui cachait quelque temps des membres de la famille Romanovy des bolcheviks. Mais déjà dès 1922 on a ouvert ici un des premiers sanatoriums soviétiques.
À côté du sanatorium on a cassé le parc luxueux orné par les sculptures, les pavillons et la piscine avec les lis aquatiques, autour duquel se tord l'avenue des lataniers. Sur le territoire du parc il y a un jardin des plantes minuscule avec la multitude de fleurs intéressantes et les arbres.
Parmi les curiosités de Miskhor il y a aussi le téléphérique qui mène sur la montagne Aï-Petri. Ce téléphérique est reconnu comme le plus grand en Europe. Le chemin, qui passe au-dessus des plantations de raisin et la forêt en défense, frappe par l'effet et doue des sensations inoubliables chacun, qui se décidera de se lever à la hauteur de 1200 mètres.