La cathédrale Arménienne (de Quinze-Août de Marie )

Armyanskaya St. 7

La relique principal d’une des communautés les plus nombreuses du Lvov médiéval – la cathédrale Arménienne – c’est le monument architectural le plus ancien de la ville. Ce temple unique était longtemps le centre de la vie religieuse et culturelle des Arméniens – le peuple qui a joué un rôle important à l'histoire de Lviv. La cathédrale se trouve sur le territoire du centre historique – à la place, où autrefois l'école arménienne et l'imprimerie s'installaient.

La construction du temple de Quinze-Août de Marie a commencé au XIV siècle aux fonds de deux marchands arméniens. Pendant deux siècles suivants à côté de l'église on a érigé la tour-campanile extraordinaire de 35 mètres et on a établi l'arcade de la Renaissance. Pour les longues années de son existence la cathédrale Arménienne se renouvelait bien des fois, acquérissait de diverses annexes et changeait son aspect. Aujourd'hui elle représente l'ensemble éclectique charmant, où les styles traditionnels arméniens, russes anciens et romano-gothiques ont trouvé leurs reflet.

La cathédrale est le centre de l'ensemble architectural original, que est formé par les constructions les plus intéressantes : le palais des archevêques, le couvent des bénédictines, le bâtiment de l’ancienne banque arménienne (le plus vieil à Lviv), l'autel en bois avec la composition "le Golgotha" et la colonne avec la figure du Christophe sacré. Dans la cour du temple une ancienne nécropole s'est gardée, et ses tombeaux sont datés ХIV – ХVIII siècles.

L'intérieur de la cathédrale Arménienne – pas en exemple à son aspect sombre extérieur – est riche et vif à la manière orientale. Les ornements extraordinaires, les vitraux colorés et la mosaïque font l'impression du conte de fée animé. Mais l’ornement principal du temple ce sont les fresques à la façon de la peinture russe ancienne, survivant des ХIV – ХV siècles. Aujourd'hui ils présentent la valeur historique et d'art.

Les fresques créées par le peintre polonais Jan Rozenom au début du XX siècle n’impressionnent pas moins. Malgré le fait qu'ils sont accomplis dans le style moderne de la peinture européenne religieuse, les fresques se sont inscrites harmonieusement dans l'intérieur authentique du temple, l’ayant fait plus attrayant.

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